« Chaque individu a en lui des capacités considérables de se comprendre, de changer l’idée qu’il a de lui-même, ses attitudes et sa manière de se conduire, il peut puiser dans ses ressources pourvu que lui soit assuré un climat d’attitudes psychologiques «facilitatrices » que l’on peut déterminer »
C. Rogers.
En tant que psychopraticienne je m’attache à créer un climat de sécurité en m’engageant avec vous dans la relation. L’écoute empathique, l’accueil inconditionnel, et l’authenticité, les trois piliers de l’Approche Centrée sur la Personne fondée par Carl Rogers, permettent d’accueillir vos émotions et d’explorer pleinement votre expérience intérieure.
Le climat de confiance qui s’installe vous permet alors de
Devenir de plus en plus conscient de ce qui est, permet les mouvements de vie qui installent des changements profonds.
Cette thérapie s’adresse à vous si
Pour les adolescents, les adultes.
En consultations individuelles ou en couple,
en cabinet, par téléphone ou par visioconférence.
Si je trouve cela opportun, que cela va dans le sens de ce qui est travaillé, je vous proposerai peut-être un exercice corporel ou une relaxation. Libre à vous d'accepter ou non.
« La manière d’être empathique avec une autre personne revêt plusieurs facettes. Cela signifie d’abord pénétrer dans le monde personnel et sensoriel de l’autre et de s’y tenir vraiment à l’aise. Cela veut dire être sensible, moment après moment, au flot du ressenti émotionnel toujours changeant qui parcourt la personne, que ce soit la crainte, la rage, la tendresse, la confusion, tout ce qui fait l’expérience de l’instant même. (...)
Cela signifie encore lui communiquer la manière dont on perçoit son monde à lui, en portant un regard neuf et serein sur les éléments qui l’effraient.»
Carl Rogers (1980), « A way of being »
« Il apparaît essentiel que l’écoutant soit vrai, c’est-à-dire complètement lui-même ou congruent dans la relation. Cela veut dire qu’il est important que l’écoutant soit ce qu’il est dans son contact avec la personne. Dans la mesure où il présente la façade extérieure d’une attitude ou d’un sentiment, alors que dans son for intérieur, il ressent autre chose, les chances pour que la relation soit aidante, diminuent. La relation ne sera aidante que dans la mesure où il est, dans cette relation, une personne unifiée, le ressenti de ses sentiments, la conscience de son ressenti, et l’expression de ce ressenti se trouvant en accord ou congruents. C’est seulement quand l’écoutant offre sa réalité intérieure sans fard que l’autre peut chercher et trouver sa propre réalité. »
Carl Rogers
L’acceptation, ou plus précisément « la considération positive inconditionnelle » suppose de la part de l’écoutant une sollicitude vierge de tout jugement de valeur sur les pensées, les sentiments ou les comportements de la personne écoutée.
Il ne peut être question que l’écoutant accepte certains aspects de l’écouté et en rejette d’autres. Il éprouve (et la simulation n’est pas possible) une forme de chaleur positive, non possessive, à l’égard de l’écouté. Cette acceptation s’étend à tout l’éventail des sentiments et des attitudes, de l’hostilité et de l’indifférence à l’amour et à la joie…»
Brian Thorne, « Comprendre Carl Rogers », Edition Privat
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